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12 juillet 2013 5 12 /07 /juillet /2013 17:46

A la suite d'un certain nombre de relances de la part d'Overblog, je suis passé récemment à la nouvelle version de ce gestionnaire de blog. Le résultat est calamiteux, cauchemardesque. Cette version était censée apporter des améliorations substantielles, elle marque en réalité une régression inimaginable pour les blogueurs qui, comme moi, se sont laissés piéger. Et il est impossible de revenir à la version précédente (j'étais prévenu).

J'ai voulu modifier mon dernier article (commentaires de Marie-Noëlle Thabut, année liturgique C, 15e dimanche ordinaire 14 juillet 2013). Je n'y arrive pas. A titre d'exemple, le nouvel éditeur de texte de permet pas de surligner tel ou tel passage des articles publiés.

Basculer sur une autre plateforme de blog (Blogger est recommandé, semble-t-il) me prendrait trop de temps. Je pense donc arrêter mon blog purement et simplement.

Mes lecteurs trouveront toujours les commentaires de Marie-Noëlle Thabut, mais seulement ceux des années précédentes (c'est à dire sans les mises à jour que l'auteur apporte régulièrement). Il leur faudra pour cela aller cliquer dans le bloc "Marie-Noëlle Thabut commente ...", sous ma photo(1).

Enfin, je prie les lecteurs qui tomberont sur cet article de bien vouloir prévenir leurs connaissances susceptibles d'être concernées : je leur recommande de ne surtout pas choisir Overblog comme plateforme de blog, et de ne surtout pas basculer sur la nouvelle version si elles ont déjà recours à cette plateforme. Merci d'avance.

 

(1) Jusqu'au 23 juillet 2013, ceci n'était pas possible: en effet, la nouvelle version d'Overblog a modifié les adresses URL des pages du blog (notamment, "Année liturgique A", "Année liturgique B", "Année liturgique C") sans en avertir les blogueurs !

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16 décembre 2012 7 16 /12 /décembre /2012 15:27

Je participerai mardi soir, 18 décembre à la seconde partie du Libre Journal des Contribuables, animé par Benoîte Taffin (porte-parole de Contribuables Associés) sur Radio Courtoisie.

Voici la liste des invités de cette émission, rediffusée mercredi 19/12 de 2h à 5h puis de 7h30 à 10h30 (du matin) et qui pourra être écoutée en podcast sur le site de Contribuables Associés:

Invités de la 1ère partie

18h à 19h30

Lionel TARDY, député UMP de Haute Savoie, chef d’entreprise

Bernard ZIMMERN,  animateur du blog « Emploi 2017 », fondateur de l’IFRAP

Invités de la 2ème partie

19h30 à 21h

Nicolas PERRUCHOT, rapporteur d’une commission d’enquête parlementaire sur le financement des syndicats, conseiller régional Nouveau Centre

Thierry JALLAS, consultant, créateur du syndicat « LIBRES »

Guy MILLIERE, professeur d’université, pour son livre « Le désastre OBAMA »

Questions des auditeurs Bernard DE FABREGUES

 

Le dernier numéro des "Dossiers du Contribuable" est consacré aux syndicats. Je vous en recommande la lecture.Un des derniers articles (surligné en jaune, ci-dessous) est consacré aux mésaventures du syndicat LibRes (que j'ai créé avec des amis) avec la CGT et la CGDT. Plus de précisions à ce sujet sont disponibles sur www.SyndicatsLibresEtResponsables.fr.

 


 

 

 

Enquête sur la CGT 

Le nouveau numéro des Dossiers du Contribuable est paru. 

D10CGTune
68 pages de révélations.

en vente 4€50 sur notre site entièrement sécurisé

 

117 ans de manipulation prolétarienne 

« La CGT, c’est le Cancer Général du Travail ; encore que Krasucki dit que c’est faux, parce que le cancer évolue, et pas la CGT ! », racontait Coluche.
Trente ans plus tard, cette boutade reste d’actualité tant ce syndicat donne l’impression de faire un pied de nez au darwinisme.

Son horloge interne s’est arrêtée à la fin du XIXe siècle, lorsqu’il était question de pendre le dernier patron avec les boyaux du dernier contremaître. De sa naissance en 1895 aux dernières manifestations de l’automne 2012, la Confédération générale du travail alias « La Cégète » a toujours été un syndicat primaire préférant l’affrontement au dialogue, le sabordage au compromis.

Mais aussi...
- De la défense des ouvriers à celle des immigrés : un siècle de manipulation prolétarienne.
- Avec Thierry Lepaon, les cocos sont toujours aux manettes.
- Le 1er syndicat de France.
- L’énigmatique Monsieur Thibault.
- Thibault et Sarko : « Je t’aime, moi non plus ».
- L’argent du grand frère soviétique.
- Jean-Luc Touly : « Le syndicalisme doit jouer son rôle dans l’indépendance et la transparence ».

Quand la CGT tue nos emplois

Le chimiste Arkema a renoncé, mi-novembre dernier, à investir 70M€ dans son usine de Pierre-Bénite dans le Rhône. Le motif ? Une minorité de salariés menés par la CGT ne voulait pas du projet. La punition ? Arkema va investir cette somme sur des sites de production en Chine ou aux Etats-Unis. A terme, l’usine, qui perd de l’argent, est menacée.
Lip, Manufrance, Moulinex, Continental ... On ne compte plus les entreprises révolvérisées, victimes des coups de boutoir du tueur en série de l’économie française qu’est la CGT.
Et quand le syndicat ne bloque pas les usines, c’est par des manifestations de rue que les cégétistes paralysent le pays, à en faire rougir de honte les communistes chinois…

Mais aussi...
- C’est l’économie française qu’on assassine.
- Le Syndicat du Livre : monopole, bonnes combines et gros sous.
- Grèves : le PC chinois vilipende la CGT.
- Comment la CGT a coulé le port de Marseille.
- La CGT patron voyou.

Un syndicat assis sur un tas d’or  

La CGT donne des leçons de capitalisme, mais pas celles auxquelles on pouvait s’attendre. Car en regardant de plus près les comptes de la Confédération et de ses satellites, on découvre que le syndicat dispose d’une réserve financière de 82 millions d'euros dont 41 M€ en placements.
Qui dit placement financier, dit excédent d’argent que l’on chercher à optimiser. On est loin du discours proféré sur des banderoles dans la rue ou sur les barricades syndicales bloquant des entreprises dont le cours en bourse fait monter la valeur des placements de la CGT ! Quelle malhonnêteté intellectuelle de la part de ce syndicat que de faire croire aux Français que le capitalisme qui les nourrit est la racine du mal, quand ledit syndicat fait le contraire de ce qu’il prône !
Et ce, d’autant plus qu’une bonne part de cet argent provient de subventions publiques, c’est-à-dire de la poche du contribuable…

Mais aussi...
- D’où vient le pactole ?
- Sondage : un Français sur deux souhaite que les syndicats vivent uniquement de leurs cotisations.
- Le rapport interdit de Nicolas Perruchot.
- Quand la CGT joue plus de 40 millions en bourse.
- La gamelle du paritarisme.
- « CoGétise » ou comment détourner les cotisations des adhérents.
- Un milliard pour les syndicats de la fonction publique.
- Les contribuables font annuler une subvention.
- Montreuil, son univers impitoyable.
- Jérôme Dubus : « Delanoë chouchoute la CGT ».

Le scandale des comités d’entreprise 

SNCF, RATP, EDF-GDF, Air France : ces places fortes de la CGT que sont les comités d’entreprise de la sphère publique lui ont permis de toucher le gros lot. Ces CE aux effectifs pléthoriques sont financés sur le dos de l’usager et du contribuable.

Saviez-vous qu’1 % de votre facture de gaz et d’électricité va dans les poches du comité d’entreprise EDF-GDF géré par la CGT ? Lequel CE n’a pas les braies très propres : un procès va bientôt s’ouvrir.

Au comité de la SNCF, tenu de longue date par la CGT, la Centrale aime à se donner des airs de Madone des Sleepings et convie les autres syndicats à goûter à la soupe de l’argent facile. Et c’est sans parler du CE de la RATP où, faisant fi des recommandations de la Cour des comptes, nos syndicalistes jouent à grands frais les duchesses dans leur château du XVIIe siècle, en Vallée de Chevreuse : un parc magnifique de 74 hectares, trois courts de tennis, un mini-golf, un étang à truites... Cette somptueuse datcha, réplique d'un château de la Loire, appartient à la CGT !

Le ministre du Logement Cécile Duflot veut réquisitionner les locaux de l'Eglise catholique qui fait déjà tant pour les pauvres en France. Qu'elle s'occupe plutôt de loger les sans-abris dans le château de la CGT !

Mais aussi...
- Le train de vie délictueux du CE de la SNCF.
- Les bonnes affaires du salon de Montreuil.
- Fraudes à gogo à la CGT-RATP.
- Le trésor de guerre du comité d’entreprise EDF-GDF.
- Gabegie et faillite à Air France.
- Hédy Sellami : « L’argent de la CGT, un scandale d’État »
- Au cœur d’une manif.
- La CGT et la CFDT interdisent la création d’autres syndicats.
- Eloi : « Bons baisers de la CGT ! »

Dossiers du Contribuable n°10 «Enquête sur la CGT», décembre 2012 – 68 pages, 4,50 €. 

En vente sur notre boutique en ligne et chez votre marchand de journaux 

Pour vous abonnez, rendez-vous sur la page « Abonnez-vous au Cri ». 




Si vous ne visualisez pas correctement ce message, cliquez ici

 

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20 juillet 2012 5 20 /07 /juillet /2012 09:10

 

M'étant muni d'une caméra vidéo, j'ai pu réaliser le reportage vidéo suivant , lors de l'Ardéchoise 2012 (16 juin 2012). Je prie mes lecteurs de bien vouloir excuser la qualité très médiocre du reportage (images, son, longueurs, etc.). La séquence initiale peut être abrégée : la course proprement dite ne commence qu'au bout de 5' 20" environ.

 

 

 

 

Voici quelques images extraites de cette vidéo.

 

Ardechoise-2012-photo-03.JPG       Ardechoise-2012-photo-05.JPG

 

Des coéquipiers de l'OEPDT avant le départ

 

 

Ardechoise-2012-photo-06.JPG   Ardechoise-2012-photo-08.JPG

 

La famille Jallas fortement représentée au sein de l'OEPDT !

 

 

Ardechoise-2012-photo-10.JPG  Ardechoise-2012-photo-14.JPG

 

La seule et unique représentante féminine de toute l'histoire de l'OEPDT ! Les supportrices sont très nombreuses, en revanche.

 

Ardechoise-2012-photo-11.JPG   Ardechoise-2012-photo-12.JPG

 

La relève de l'OEPDT est bien présente, pleine de talent. Il faut dire que la Manager Général, sélectionneur, entraîneur, sponsor, et j'en passe, j'ai nommé Bricou, est ce qui se fait de mieux en la matière, tous sports confondus.

 

 

Ardechoise-2012-photo-13.JPG  Ardechoise-2012-photo-15.JPG

 

Ceci explique le sourire radieux des membres de l'équipe : les cyclistes de l'OEPDT n'ont que des motifs de satisfaction, leurs moindres désirs sont exaucés avant même d'avoir été exprimés !

 

 

Ardechoise-2012-photo-16.JPG  Ardechoise-2012-photo-17.JPG

 

Nous sommes partis il y a quelques minutes seulement.

 

 

Ardechoise-2012-photo-18.JPG  Ardechoise-2012-photo-19.JPG

 

Peu avant le premier col (col du Buisson).

 

 

Ardechoise-2012-photo-01.JPG  Ardechoise-2012-photo-02.JPG

 

Votre serviteur, dans un état pitoyable, mais heureux (d'être arrivé !) quand même.

 

 

Enfin, voici un lien vers un site Internet présentant quelques villages d'Ardéche. L'Ardéchoise (en 4, 3, 2 ou 1 jours) passe par la plupart d'entre eux, voire tous.

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6 juillet 2012 5 06 /07 /juillet /2012 19:45

 

Samedi 16 juin 2012, j'ai participé ,une nouvelle fois, à la course cyclotouriste et cyclosportive dénommée l'Ardéchoise, qui se déroule chaque année ... en Ardèche !

 

Si j'ai tardé à faire un reportage sur cette aventure, ce dont s'étonne mon ami Michel, c'est probablement que j'en suis encore épuisé ! J'ai mis près de 11 heures pour boucler le parcours des Boutières (125 km), alors qu'il m'avait fallu 3 heures 15' de moins, l'an passé, pour réaliser le même trajet. Bref, ce fut un enfer, avec des crampes, des km parcourus en poussant mon vélo, et même des pleurs !

 

Je vous raconterai ça dans un prochain épisode, dès que j'aurai pu faire le montage des images vidéo prises à cette occasion. En attendant, voici enfin le petit reportage vidéo réalisé l'an passé, incluant le repas pris par l'équipe (OEPDT) et ses supporters, lors de la veillée d'armes, ainsi que le repas du samedi soir, après la course.

 

 

 

Voici, ensuite, une reportage vidéo sur l'Ardéchoise 2012 (attention, il faut cliquer sur le lien sous le premier article, et non pas sur la vidéo qui se présente en haut de la page).

 

Les photos proposées par le site VéloVélo sont très sympas aussi, à mon goût. On y voit, notamment, la mascotte de la course, le centenaire Robert Marchand (détenteur du record du monde de l'heure pour les centenaires), qui a parcouru 85 km sans le moindre souci.

 

Enfin, sur le site de l'Ardéchoise, vous trouverez des tas d'informations diverses, comme les classements. Notre équipe, OEPDT, a d'alleurs terminé 24e (elle aurait même terminé 23e si le parcours de mon fils Clément - 85 km - avait été comptabilisé par l'organisation : mauvaise saisie lors de l'inscription ?) Je tiens à féliciter particulièrement Anne-Laure, première femme à jamais participer au sein de l'équipe OEPDT, et qui, malgré une préparation très très légère, a parcouru vaillament 85 km, à une vitesse moyenne bien supérieure à la mienne.

 

Rendez-vous l'an prochain. J'espère que mes amis (le Michel précité, Jean-Luc, Benoît, François, Christian, 2 ou 3 Philippe, Laurent, Pierre, etc.) auront pitié de moi et ne me laisseront pas seul cette fois-ci.

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2 décembre 2011 5 02 /12 /décembre /2011 01:41

date limite d'inscription : 20 décembre 2011

Pour plus de détails cliquez ici
Lac-de-Tiberiade.jpgDates
du dimanche 25 mars au mercredi 4 avril 2012
1600 euros
chambre individuelle   355 euros
 


Renseignements et Inscriptions:

Mme Chantal ROZÉ
104 Boulevard de la Reine
78000  VERSAILLES
06.12.34.16.99
chantal.roze@wanadoo.fr

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24 novembre 2010 3 24 /11 /novembre /2010 23:06

2740-auto-entrepreneur.jpgUne personne de mon entourage m'a transmis aujourdh'hui copie de la lettre suivante, adressée à son député :

 

Monsieur le Député,

M'étant inscrit comme autoentrepreneur pour rendre service à l'IAE Lyon 3 et à l'IUT de Saint-Etienne pour y faire des formations, je me vois contraint aujourd'hui de cesser cette activité qui n'a cessé de m'attirer des ennuis et tracasseries, m'a compliqué la vie.

La dernière (j'ose espérer!) tracasserie datant d'aujourd'hui où je reçois une imposition foncière des entreprises de 479€  pour un chiffre d'affaires total de 442€. (La somme de 479€ étant la cotisation minimum votée dont 317€ pour l'intercommunalité et 38€ pour la région...)

Travailler pour payer plus d'impôts que son chiffre d'affaires!

Vive la France !

Bien cordialement,

Xxxxxxxx Xxxxxx,
99, rue du Yyyyyyyy
69000 LYON
09 99 99 99 99
06 99 99 99 99

PJ: déclaration de ma cessation d'activité.
 

  Un peu plus tard dans la journée, j'ai reçu le commentaire suivant de la part de cette même personne, qui venait de comprendre la cause de cette situation ubuesque :

 

"Quand tu ne coches pas une case dans un formulaire de l'administration, il faut savoir que tu fais des choix par défaut :

Par exemple si tu ne coches pas la case "masculin", tu décides en fait que tu veux être condamné à mort parce que c'est écrit dans la notice à la 42ème page, paragraphe 238, alinéa 57, ligne 6, mot 12 que tous ceux qui ne sont pas masculins sont condamnés à mort de droit.

C'est la nouvelle pratique de l'administration fiscale, te faire faire des choix non consentis par défaut.

Donc je suis condamné à payer 479 € de taxe foncière des entreprises parce que je n'ai pas coché la case : "j'opte pour le versement libératoire de l'impôt sur le revenu calculé en pourcentage du chiffre d'affaires ou des recettes." 

 

Cette histoire a retenu mon attention pour deux raisons :

  • elle est un des exemples de situations ridicules et injustes auxquelles conduisent les mesures étatistes, constructivistes, telles que le statut d'autoentrepreneur, pourtant salué comme un progrès dans la liberté d'entreprendre ;
  • elle met en lumière un point important de la doctrine libérale : pour être en mesure de prendre une décision libre, il faut disposer d'une information vraie. En l'espèce, la personne ne disposait pas d'une information vraie, du fait de l'omission (peut-être involontaire) par l'administration, de données importantes relatives au choix proposé. Dans ce cas, la décision n'ayant pas été prise librement, sur la base d'informations complètes, devrait pouvoir être modifiée.

Complément du 29/11/2010 : une dépêche de l'AFP, trouvée sur le site Internet de Boursorama, donne des explications complémentaires. En voici le début :

 

Une taxe inattendue risque de plomber le statut d'auto-entrepreneur :

 


Le ministre des PME Frédéric Lefebvre, le 17 novembre 2010 à l'Elysée, à Paris
© afp.com  Lionel Bonaventure

De nombreux auto-entrepreneurs vont devoir payer une cotisation au titre de la taxe professionnelle réformée, sans même avoir réalisé de chiffre d'affaires, une mauvaise surprise susceptible de plomber l'engouement pour ce dispositif qui a dopé les créations d'entreprises.

"Que d'énergie dépensée inutilement ! Je termine mes engagements d'ici à la fin décembre et ensuite, je ferme", lâche un auto-entrepreneur sur un forum internet, où les titulaires de ce statut sont nombreux à faire part de leur "écoeurement".

La Fédération des Auto-Entrepreneurs (FEDAE) s'est émue du problème : des milliers d'inscrits ont reçu un avis d'imposition pour régler la Cotisation foncière des Entreprises (CFE), qui remplace la taxe professionnelle.

Cette cotisation, fixée par les communes, est en effet calculée non pas en fonction du chiffre d?affaires déclaré, mais sur la base de la valeur locative du lieu de travail des auto-entrepreneurs, même s'il s'agit, dans la plupart des cas, de leur domicile.

Résultat : ils se retrouvent à payer une taxe, alors même qu'ils n'ont pas réalisé de chiffre d'affaires, souligne Grégoire Leclercq, qui préside la FEDAE. "D'autres doivent payer une cotisation bien trop élevée - jusqu'à 2.000 euros - sans rapport avec leur niveau d'activité", poursuit-il.

 

 

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17 avril 2010 6 17 /04 /avril /2010 21:19

Lundi 19 avril, de 20 heures 30 à 22 heures 30, aura lieu au café "Le Luxembourg" (58 Bd Saint Michel, 75006 Paris) une séance du Café Liberté consacrée à la Doctrine sociale de l'Eglise catholique.


Son organisateur, Xavier DRIANCOURT, m'a fait l'honneur de me demander de présenter cette doctrine, ses textes fondateurs, ses concepts, sa structure, et ses affinités ou différences avec les variantes de libéralisme.

En complément Xavier DRIANCOURT présentera un compte rendu de la journée du 20 mars organisée au collège des Bernardins sur cette doctrine.

 

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15 janvier 2010 5 15 /01 /janvier /2010 23:16
Le projet de création d'une organisation syndicale professionnelle, que j'avais évoqué ici même il y a près de deux ans, est en train de voir le jour. Avec un groupe d'amis, nous en avons posé les premières pierres. J'espère que cette organisation sera bientôt plus nombreuse que la CGT, la CFDT, FO, la CFTC et la CGC réunies !

J'invite mes lecteurs à aller voir le site www.aecspl.oxatis.com et à y laisser leurs commentaires (menu "Echangeons !", sous menu
"Témoignages, commentaires"). Je les en remercie par avance, car ces commentaires nous sont indispensables pour améliorer notre concept.

Notre organisation assure que les principales attentes de Français, à savoir le plein emploi et la hausse du pouvoir d'achat, ne peuvent être obtenus qu'en laissant les marchés fonctionner librement, le marché de l'emploi en tête. Elle explique pourquoi, en faisant de la vulgarisation auprès des salariés et des demandeurs d'emploi.

Hier soir, j'ai assisté à une réunion organisée par les associations seine-et-marnaises SYNACTION et SENART ENTREPRISES.
Thème de la soirée : Les syndicats patronaux
       - 
Qui sont-ils ? Qui représentent-ils ? Que font-ils ?
       - 
La crise de 2009/2010 a t-elle changé leurs actions ?
       - Pourquoi adhérer à un syndicat professionnel ?

       - Y a t-il opposition entre Syndicats professionnels et Associations d'entreprises ?
        
Comment mieux travailler ensemble ?
 Ø avec la participation de :
        - M. Adel NEDJA             Délégué Général du MEDEF 77,
        - M. Yannick LEBOEUF   Secrétaire Général de la CGPME 77
        - M. Gilles LAOT             UPA - Secrétaire Général CAPEB 77  
        - M. Denis ANDRE           Président de SENART ENTREPRISES,
        - M. Dominique LONZI    Président de SYNACTION
   soirée animée par Arnaud MICHEL - LABEL PRESSE

J'ai entendu (avec satisfaction) M. Adel Nedja expliquer qu'il était favorable à la (libre) concurrence, puis (avec stupéfaction) que nous étions dans un régime libéral, avant que la discussion se déplace sur le thème de la crise. Le thème a eu tellement de succès auprès de l'auditoire que je n'ai pas pu poser les nombreuses questions qui me brûlaient les lèvres. Parmi celles-ci : "Pourquoi n'entend-on pas les organisations syndicales patronales contester les multiples entraves à la libre concurrence comme, par exemple :
- le monopole de la Sécurité Sociale;
- le monopole de chaque salarié sur son propre emploi;
- le monopole de Poste, de la SNCF, de la RATP, etc. ?
"

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29 novembre 2009 7 29 /11 /novembre /2009 23:28

 

Ce matin, j'ai répondu positivement à l'invitation de l'EAP (Équipe d'Animation Paroissiale) de Pontault-Combault, qui organisait une matinée de réflexion au centre paroissial des Pèlerins d'Emmaüs. Elle avait demandé au Seine-et-Marnais Alain Deleu, Président honoraire de la CFTC, de nous aider à réfléchir à cette question : « Vivre sa foi dans le monde du travail ».


Participer à cette réunion a été pour moi, comme je m'y attendais, un mélange de plaisir et de souffrance.

Plaisir de se retrouver avec des chrétiens convaincus, sympathiques, pour parler d'un sujet qui ne peut laisser aucun d'entre nous indifférent. Si notre foi n'avait aucune importance quant à notre façon de nous comporter dans les différents cadres (amical, familial, professionnel, associatif , ...) de notre vie, c'est que quelque chose clocherait.

J'ajoute que j'ai trouvé Alain Deleu, que je rencontrais pour la seconde fois, très agréable, très simple, modeste1.

Souffrance de constater l'aveuglement de la plupart des chrétiens, leur inculture économique, leur raisonnements à courte vue, leur absence de logique. J'ai bien conscience, en écrivant ça, de passer pour un prétentieux de la pire espèce. D'autant plus qu'en matière de logique, d'aveuglement, je n'ai de leçon à donner à personne (comme le prouve, entre autres exemples, l'arnaque dont j'ai été victime 10 jours plus tôt).

Effectivement, je n'ai de leçon à donner à personne, et pourtant.... Je suis persuadé qu'en matière économique et sociale l'enfer est pavé de bonnes intentions et que les hommes politiques et les syndicalistes salariés (ceux de la CFTC inclus), même lorsqu'ils sont pétris de bons sentiments, provoquent le malheur de nos concitoyens au lieu du bonheur qu'ils ambitionnent de répandre. J'ai été vivement intéressé par une idée figurant dans les premiers paragraphes (3 et 4) de « Caritas in Veritate », de Benoît XVI : « La vérité est une lumière qui donne sens et valeur à l'amour. Cette lumière est, en même temps, celle de la raison et de la foi (...) Dépourvu de vérité, l'amour bascule dans le sentimentalisme. (...) Il est la proie des émotions et de l'opinion contingente des êtres humains; il devient un terme galvaudé et déformé, jusqu'à signifier son contraire. La vérité libère l'amour des étroitesses de l'émotivité (...) ». Je crois que l'amour d'Alain Deleu et des dirigeants de la CFTC (pour "le prochain") est sincère, mais qu'il ne s'appuie pas sur la vérité, qu'il en est dépourvu. Je vais tâcher de vous expliquer pourquoi.


J'ai été heureux de constater qu'Alain Deleu faisait souvent référence à la Doctrine sociale de l'Église (mentionnant le compendium, les encycliques sociales et, notamment, « Caritas in Veritate »).

Je l'ai entendu dire que le principe fondamental de la Doctrine sociale de l'Église, c'était « l'égale dignité de toutes les personnes », en insistant sur le mot « égale ». J'en ai été surpris, non pas que je conteste cette égale dignité ni le fait que la Doctrine sociale de l'Église pose ce principe, mais parce que je m'attendais plutôt à ce qu'en parlant de ce principe, dit « principe personnaliste », Alain Deleu insiste plutôt sur d'autres caractéristiques de cette dignité. Voici, dans l'ordre où ils se présentent, les différents attributs (soulignés par moi) de cette dignité, selon le Compendium (TROISIEME CHAPITRE) :

Article 105 : « L'Église voit dans l'homme, dans chaque homme, l'image vivante de Dieu lui-même; image qui trouve et est appelée à retrouver toujours plus profondément sa pleine explication dans le mystère du Christ, Image parfaite de Dieu, Révélateur de Dieu à l'homme et de l'homme à lui-même. C'est à cet homme, qui a reçu de Dieu une dignité incomparable et inaliénable (...) ».

Article 107 : « L'homme, considéré sous son aspect historique concret, représente le cœur et l'âme de l'enseignement social catholique. Toute la doctrine sociale se déroule, en effet, à partir du principe qui affirme l'intangible dignité de la personne humaine. ».

Article 128: « (...) en raison de sa dignité unique d'interlocuteur de Dieu (...) ».

Article 132: « Une société juste ne peut être réalisée que dans le respect de la dignité transcendante de la personne humaine ».

Ce n'est qu'après qu'est mentionnée « l'égale dignité de tous les hommes », à partir de l'article 144 :

« D) L'ÉGALE DIGNITÉ DE TOUTES LES PERSONNES

144 « Dieu ne fait pas acception des personnes » (Ac 10, 34; cf. Rm 2, 11; Ga 2, 6; Ep 6, 9), car tous les hommes ont la même dignité de créature à son image et à sa ressemblance. ».

Je crois qu'il ne faut pas donner plus d'importance qu'il n'en mérite au fait qu'Alain Deleu donne priorité à l'attribut « égale », en ce qui concerne la dignité de toutes les personnes. C'est bien son droit et je ne veux en aucun le chicaner pour ça.


Ce qui m'a bien davantage surpris, voire choqué, c'est de ne pas entendre Alain Deleu exprimer l'idée que la composante essentielle (ou sa conséquence ?) de la dignité, c'est la liberté de la personne humaine! Ceci est pourtant exprimé par le Compendium avant même l'article 144 précité:

C) LA LIBERTÉ DE LA PERSONNE

a) Valeur et limites de la liberté

135 L'homme ne peut tendre au bien que dans la liberté que Dieu lui a donnée comme signe sublime de son image: « Dieu a voulu le laisser à son propre conseil (cf. Si 15, 14) pour qu'il puisse de lui-même chercher son Créateur et, en adhérant librement à Lui, s'achever ainsi dans une bienheureuse plénitude. La dignité de l'homme exige donc de lui qu'il agisse selon un choix conscient et libre, mû et déterminé par une conviction personnelle et non sous le seul effet de poussées instinctives ou d'une contrainte extérieure ».


Tout lecteur qui ne serait pas convaincu de l'importance donnée à la liberté de l'homme par la Doctrine sociale de l'Église est renvoyé à un article précédent de mon blog.


Si nous en avions eu le temps, voici quelques unes des questions que j'aurais aimé poser à Alain Deleu, sans ironie ni agressivité (qui sont antinomiques avec l'amour du prochain):

« Trouvez-vous conforme à ma liberté, donc à ma dignité, qu'il me soit interdit, à la demande des syndicats, notamment, de postuler à un emploi déjà tenu par un salarié, fonctionnaire ou non (parce que celui-ci, à moins de commettre une faute grave ou lourde, dispose d'un monopole de durée illimitée sur son emploi)? »

« Trouvez-vous conforme à ma liberté, donc à ma dignité, qu'il me soit interdit, à la demande des syndicats, notamment, de négocier librement un contrat de travail avec un employeur (en prévoyant, par exemple, que chacune des parties est libre de mettre un terme au contrat à tout moment, avec un préavis mais sans justification ni indemnisation de l'autre partie, ou en prévoyant qu'en cas de conflit avec mon employeur, lui et moi ne nous adresserons pas aux Prud'hommes mais à un arbitre? »

« Trouvez-vous conforme à ma liberté, donc à ma dignité, qu'il me soit interdit, à la demande des syndicats, notamment, de travailler le dimanche, en tant que salarié, si mon entreprise ne fait pas partie d'un secteur d'activité ou n'est pas implantée dans une ville dont la liste est dressée par les pouvoirs publics ? »

« Trouvez-vous conforme à notre égale dignité que votre emploi de permanent syndical soit financé majoritairement par les contribuables, dont l'avis n'a pas été demandé, alors que le mien est entièrement et librement financé par mes seuls clients ? »

1Trouver le personnage modeste ne m'empêche pas de considérer comme prétentieuse une croyance des leaders syndicalistes : celle qu'il est normal que les accords sociaux qu'ils signent s'imposent à tous les salariés, que ceux-ci le veuillent ou non (comme si ces leaders savaient à coup sûr mieux que les salariés ce qui est bon pour eux), au mépris du principe de subsidiarité.

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13 novembre 2009 5 13 /11 /novembre /2009 11:30

Je participe, demain, samedi 14 novembre 2009, à la 10e édition des DicOzoir. Cette sorte de « dictée de Pivot » est organisée par l'association Paroles d'Ozoir et mise au point par mon amie Christiane Bachelier, ancien vainqueur (dico d'Or) de l'épreuve de Bernard Pivot, en 1999.

L'épreuve a lieu à 14 heures, au lycée Lino Ventura (rond-point W.A. Mozart), à Ozoir-la-Ferrière. L'ouverture des portes se fera à 13 heures 30. Il est possible de s'inscrire sur place jusqu'au dernier moment.


J'invite mes lecteurs à participer à cette épreuve et, pour s'échauffer, à faire la dictée de 2008, dont le fichier audio figure ici.

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